Quand on s’est mis tout le monde à dos, on essaie de s’en sortir comme on peut… Après les délires de Tonton Bernie et ses pitoyables tentatives d’explication, voici venu le temps des excuses foireuses. Morceaux choisis :
“Je présente mes excuses sans réserves pour les propos que j’ai tenus lors d’une récente interview.”
“Je suis extrêmement peiné et gêné que ces propos aient été utilisés pour laisser entendre que je soutenais Hitler ou Saddam Hussein. Je ne soutiendrais jamais des gens comme ça.”
Mais le meilleur, le voila : “J’ai été stupide de m’être laissé entraîner dans une discussion sur ces gens. Mais c’est entièrement de ma faute, ce que je regrette profondément.” Allons Bernie, tu n’as pas parlé sous la torture, personne ne t’as obligé à dire ces propos. Ce genre d’excuses, on les a vu et revu dans la presse de la part de biens d’autres personnes dont les propos étaient d’ailleurs moins graves. Le mal est fait et c’est tant mieux, tout le monde sait maintenant quel genre de personnage méprisable est Bernie Ecclestone. Et l’histoire s’en souviendra.
